Vous avez fait votre premier placement financier et un an après, l’opération s’est avérée être un échec. Parce que cette expérience vous a traumatisé, vous hésitez à faire un nouvel investissement. Cette peur n’est aucunement justifiée. Dans le domaine financier, les risques sont nombreux et même les plus talentueux font des erreurs. Voici quelques raisons de l’échec d’un investissement.
Vous avez décidé de faire vous-même les placements alors que vous manquez d’expérience. Avant d’investir votre épargne, vous devez vous informer sur Money radar, un site d’information sur les investissements. L’éducation financière est fondamentale, de même que l’acquisition d’informations pointues et précises sur la finance française. Ce sont les piliers d’une prise de décision judicieuse ! Prenez le temps de bien comprendre chaque placement, et les risques qui y sont associés, avant de vous lancer. Une fois que vous réalisez le placement, suivez son évolution. Par-dessus tout, prenez des mesures pour réduire les risques. Un placement financier sans risque n’existe pas ou alors ses rendements sont très faibles. De ce fait, tentez de bien comprendre ces risques avant de choisir un placement. La clef de la compréhension est bien évidemment l’information. Initiez-vous au monde de l’assurance-vie, de la banque et de la bourse. Découvrez les arcanes de l’immobilier. Enrichissez vos connaissances en matière de crypto-monnaie. Devenez un as de la fiscalité. Et, naturellement, suivez l’actualité économique et financière.
Un événement extérieur est susceptible d’affecter la valeur d’un placement. Ce fut le cas lors de la crise financière et économique de 1929. Voilà pourquoi il est important de suivre l’actualité. Surtout, suivez les analyses faites par les experts autour de cette actualité. L’objectif est de savoir dans quelle mesure une crise économique ou une guerre/crise politique dans une région, un changement de législation ou des catastrophes naturelles peuvent avoir des répercussions sur la finance d’un pays.
Un placement financier est considéré comme un échec lorsqu’il n’est pas parvenu à atteindre les objectifs fixés par l’investisseur. Ces objectifs peuvent être de nature financière : recherche d’un rendement ou d’une plus-value par exemple. Ils peuvent également être de nature non financière : diversification du patrimoine, préparation de la retraite, etc.
Vous devez porter une attention particulière à tous les détails, car une mauvaise évaluation du risque associé à un investissement risque d’engendrer des pertes financières ! Rien ne doit donc échapper à votre vigilance. Parce qu’il n’a pas été suffisamment méfiant, un investisseur a fini par acheter des actions d’une entreprise qui fait faillite ou par investir dans un fonds d’investissement qui perd de la valeur. Il peut aussi avoir souscrit à un produit d’épargne qui, au final, ne lui rapporte pas suffisamment de revenus. Si le rendement d’un investissement est plus faible que ce qui était prévu, alors cet investissement est un échec. Cette rentabilité dépend de plusieurs facteurs, dont les frais de gestion ou les coûts de l’opération.
Ce n’est pas très compliqué de limiter les risques. Primo, informez-vous : vous devez comprendre le monde de la finance, connaître les lois, maîtriser les mécanismes, suivre les actualités.
Secundo, diversifiez votre portefeuille. En clair, placez votre argent dans différents produits à condition de le répartir judicieusement : vous avez besoin de l’aide d’un expert pour cette répartition, d’où le troisième point.
Tertio, ayez recours à un conseiller financier. Enfin, faites preuve de patience.